Octobre 2023

LDLC, pionnier du e-commerce français né à Lyon, s’est fortement développé et diversifié depuis sa création en 1996. Installé à Limonest et conscient de son impact sur le territoire, le groupe propose des solutions innovantes pour le bien-être au travail.

LDLC, pionnier national du commerce électronique

Laurent de la Clergerie, diplômé en sciences économiques et ingénieur en électronique, crée LDLC en 1996 à Lyon. Olivier, aujourd’hui directeur général du groupe, et sa sœur Caroline, rejoignent rapidement leur frère Laurent. Ce qui diffère quand on travaille avec une famille, c’est qu’on se dit vraiment tout, souligne Laurent de la Clergerie, président du Groupe LDLC. Désormais installé à Limonest, dans l’ouest de la métropole de Lyon, le groupe continue de prospérer.

Avec actuellement plus de 100 magasins physiques et 7 sites web marchands, LDLC a connu une croissance progressive. Le groupe a acheté Materiel.net en 2016, BIMP en 2017, et Top Achat en 2020, ce qui lui a permis de se positionner comme leader du commerce informatique et high tech en France.

Aujourd’hui, notre objectif continue d’être de nous redimensionner, de nous agrandir. Nous partageons avec les marques qu’on a achetées le même ADN.

Laurent de la Clergerie, président et fondateur du Groupe LDLC

En parallèle, le Groupe LDLC se diversifie. Ceci se traduit notamment par la création, en 2016, de l’Armoire de Bébé, son enseigne dédiée à la puériculture.

Le campus LDLC de Limonest

Pour accompagner sa croissance, LDLC a fait le choix de rester à dans la métropole de Lyon : j’y suis bien !, s’exclame le président de LDLC. Situé sur la parc d’affaires du Puy d’Or à Limonest, le siège social du groupe s’étale sur un hectare de terrain et regroupe les bureaux, L’École LDLC et un bâtiment « cœur de vie » en forme de dôme. Ce campus d’inspiration américaine traduit les valeurs du groupe : un lieu de travail idéal, « geek et fun », centré sur le bien-être. Un hub végétal pouvant être escaladé, une conciergerie, des salles de sport et de détente, un grand réfectoire… de quoi se sentir bien et mieux encore.

À LDLC, il y a une âme. Chaque personne a une raison qui est la sienne pour travailler pour nous. On accorde beaucoup d’autonomie, chacun·e trouve ses valeurs et n’a pas envie de partir à la fin. Chacun·e trouve un sens d’être là, commente Laurent de la Clergerie.

Des initiatives pour développer le territoire lyonnais

Laurent de la Clergerie est convaincu de la nécessité de continuer à contribuer au développement du territoire grand lyonnais :

C’est ce territoire qui m’a fait grandir. On doit rendre ce qu’on a acquis, on doit lui en faire profiter.

Au travers de la Fondation Groupe LDLC, le groupe met en place des actions de mécénat depuis plusieurs années. Il soutient ainsi des acteurs et actrices culturel·les du territoire, tels que le Théâtre des Célestins, l’Opéra de Lyon, le festival Les Nuits de Fourvière et l’Auditorium — Orchestre national de Lyon. Ces mécénats ont débuté après la période de Covid et se sont renouvelés en 2022 et 2023.

De plus, le groupe est très investi dans le sport local. LDLC est le sponsor du club de basketball ASVEL Lyon-Villeurbanne depuis 2012, dont l’équipe professionnelle masculine se renomme « LDLC ASVEL » en 2018. Il étend ensuite son partenariat, à l’automne 2019, à l’équipe féminine qui devient « LDLC ASVEL féminin ». On a cherché un sport qui nous correspondait, c’est un bon moyen de rendre à la région lyonnaise ce qu’elle nous a apporté, précise Laurent de la Clergerie.

Des engagements pour l’environnement et l’éducation

Outre les 3 400 m2 de végétation et les 60 arbres plantés aux alentours de son siège social, LDLC traduit son engagement pour l’environnement à travers ses contributions pour Team for the Planet. C’est lyonnais et je suis lyonnais : Laurent de la Clergerie est persuadé que derrière cette entreprise à but non lucratif, se cache de vrai·es passionné·es qui portent un projet sincère. Le Groupe LDLC figure ainsi parmi les principaux actionnaires de ce fonds qui finance des innovations, à l’échelle mondiale, pour lutter contre le dérèglement climatique.

Par ailleurs, LDLC a créé sa propre école. Depuis 2015, cette dernière propose un cursus de trois ans qui aboutit à l’obtention d’un Bachelor nommé « Chef de projet des transitions numériques et économiques ». Sur le campus LDLC de Limonest, les étudiant·es sont en contact direct avec les collaborateurs et collaboratrices du groupe. Le but, c’est de pouvoir former des gens à devenir des entrepreneurs qui ne sont pas forcément experts dans tous les domaines, mais capables de s’adresser à tous les domaines, explique le fondateur de LDLC.

LDLC ou l’envie de « vivre mieux »

Si 20 à 40 % des Français·es travaillent 4 jours par semaine, le moral de la France changerait complètement. C’est la certitude de Laurent de la Clergerie, après presque trois ans à expérimenter la semaine de 4 jours (32 heures). S’il était d’abord curieux de l’instauration de ce mode de travail en 2021, les résultats l’ont convaincu. Le stress est le mal du siècle. Et la semaine de 4 jours est une solution qui fonctionne de façon très efficace. Nos salarié·es font plus, en se portant mieux. C’est contre-intuitif, mais je l’ai testé pour savoir.

Cette semaine de 4 jours a, selon lui, de nombreux avantages pour le territoire. Elle favoriserait notamment le tourisme local et redynamiserait les secteurs en difficulté. Si demain 20 à 40 % des Français·es travaillent 4 jours, elles et ils chercheront à remplir leurs trois jours libres : tourisme, sport, activités, etc. ce qui animera ces secteurs. Un autre effet rebond : la semaine de 4 jours pourrait réduire la pression sur les hôpitaux au vu de ses effets positifs sur la santé, signale Laurent de la Clergerie.

Enfin, LDLC réévalue continuellement les salaires de ses collaborateurs et collaboratrices. Elle œuvre aussi à la progression de l’égalité femmes-hommes avec la mise en place, en 2023, d’un congé parental de 20 semaines. Celui-ci permet de répartir la charge qui pèse sur les parents et de rééquilibrer les tâches. Les parents, salarié·es du groupe LDLC, bénéficient également d’un délai élargi pour trouver un moyen de garde pour leurs enfants.

LDLC en chiffres

  • 1 du commerce informatique et high tech en France
  • + de 1 000 collaborateurs et collaboratrices
  • 567,4 millions d’euros de chiffres d’affaires (entre le 1er avril 2022 et le 31 mars 2023)
  • 15 enseignes, une école et une fondation
  • 100 magasins physiques
  • 7 sites web marchands, 1 500 marques, 50 000 références

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